Si vous évaluez la performance des actions en terme de rentabilité ou d’opportunité de croissance, vous vous apercevrez rapidement que certaines places financières peuvent être bien plus porteuses que la traditionnelle bourse de Paris et son indéboulonnable CAC 40. Vous allez vite vous rendre compte de l’intérêt de diversifier vos investissements sur d’autres marchés cotés. Ceci, malgré le risque de change supplémentaire lié à l’évolution de l’euro face aux autres devises, comme le dollar ou le yen.
Pour bien diversifier votre portefeuille à l’étranger et en améliorer la performance, voici un tour d’horizon à 360 degrés des principales bourses internationales et de leurs indices de référence.
Quels sont les principaux indices boursiers dans le monde ?
Pour diversifier vos investissements à l’échelle internationale, il est essentiel de connaître les grands indices boursiers qui regroupent les principales entreprises cotées par zone géographique. Ces indices permettent de suivre la performance globale d’un marché, d’un continent, ou d’un secteur.
Pour y investir, vous ne pouvez pas acheter « l’indice » en tant que tel. Vous devez passer par des produits qui le répliquent, comme les ETF (Exchange Traded Funds), également appelés trackers. Ces ETF reproduisent la performance d’un indice de manière automatique, avec différentes méthodes de réplication (physique ou synthétique).
Il existe plusieurs ETF par indice, chacun émis par un acteur différent (Amundi, iShares, Lyxor…). Certains utilisent la réplication physique (ils achètent les titres de l’indice), d’autres la réplication synthétique (via un contrat d’échange de performance, souvent utilisé pour rendre l’ETF éligible au PEA ou pour baisser les frais sur certains indices peu accessibles, notamment dans les pays émergents).
Voici un tableau récapitulatif des principaux indices boursiers internationaux, avec pour chacun un exemple d’ETF représentatif, sa zone géographique, sa couverture, et son éligibilité au PEA :
| Zone géographique | Indice boursier | Couverture de l’indice | ETF représentatif | Éligibilité PEA |
| Monde développé | MSCI World | Les 1 500 plus grandes capitalisations de 23 pays développés | Amundi MSCI World | ✅ (réplication synthétique) |
| Monde émergent | MSCI Emerging Markets | Environ 1 400 actions de 27 pays émergents | iShares MSCI EM | ✅ (réplication synthétique) |
| Europe large | Stoxx Europe 600 | 600 grandes, moyennes et petites entreprises de 17 pays européens | Lyxor Stoxx Europe 600 | ✅ Oui |
| Zone euro | EuroStoxx 50 | 50 plus grandes capitalisations de la zone euro | Amundi EuroStoxx 50 | ✅ Oui |
| Allemagne | DAX 40 | 40 plus grandes entreprises cotées en Allemagne | Lyxor DAX (DR) | ✅ Oui |
| Royaume-Uni | FTSE 100 | 100 plus grosses capitalisations britanniques | Lyxor FTSE 100 | ❌ Non |
| Suisse | SMI (Swiss Market Index) | 20 principales actions cotées à Zurich | iShares SMI | ❌ Non |
| États-Unis (large) | S&P 500 | 500 plus grandes entreprises américaines cotées | Amundi S&P 500 | ✅ (réplication synthétique) |
| États-Unis (tech) | Nasdaq-100 | 100 plus grandes entreprises non financières cotées au Nasdaq (surtout tech) | Lyxor Nasdaq-100 | ✅ (réplication synthétique) |
| États-Unis (small) | Russell 2000 | 2 000 plus petites capitalisations américaines | iShares Russell 2000 | ❌ Non |
États-Unis (blue chips) | Dow Jones Industrial Average | 30 grandes entreprises industrielles américaines, pondérées selon un système atypique | Lyxor Dow Jones | ✅ (réplication synthétique) |
| Japon | Nikkei 225 | 225 plus grandes entreprises japonaises pondérées par le prix | Lyxor Nikkei 225 | ❌ Non |
| Chine | CSI 300 / SSE 50 | Principales grandes capitalisations cotées à Shanghai ou Shenzhen | iShares China Large Cap | ❌ Non |
| Asie-Pacifique | MSCI Asia Pacific ex Japan | Actions de pays développés d’Asie-Pacifique (hors Japon) | iShares Asia Pacific ex Japan | ❌ Non |
Lorsque vous investissez dans un indice étranger, votre placement est souvent libellé dans une autre devise : dollar, yen, yuan, livre sterling… Si cette devise baisse par rapport à l’euro, votre investissement peut perdre de la valeur, même si l’indice progresse. Pour y remédier, certains ETF ou fonds proposent des versions dites « hedgées » (couvertes contre le risque de change), mais elles sont souvent plus coûteuses.
Pourquoi investir dans les bourses internationales ?
Pour aller chercher de meilleures performances
Alors que l’Europe a une croissance globalement poussive depuis de nombreuses années , certaines zones géographiques explosent. C’est le cas notamment de l’Asie du sud-est qui affiche des taux de croissance à faire pâlir la France depuis des dizaines d’années. En effet, ces pays dits émergents sont en phase de rattrapage économique. La Chine affiche un taux de croissance compris entre 6 et 12% depuis 30 ans et l’Inde n’est plus très loin derrière. D’autres pays, plus discrets, ne connaissent pas non plus de crise, comme l’Australie qui affiche un taux de croissance positif depuis 30 ans.
En investissant dans des sociétés qui bénéficient de cet essor, vous pouvez espérer de bonnes performances.
Le graphique ci-dessous présente les principaux indices boursiers internationaux (Europe, États-Unis, Marchés Émergents et Japon) depuis 2013. On voit que sur cette période, l’indice américain domine, suivi de l’indice Japonais.

Avant de placer votre argent à l’étranger, vérifiez que le pays respecte avec constance les principes de l’État de droit et les libertés économiques fondamentales. Dans certains marchés émergents avec des régimes autocratiques, les règles peuvent changer du jour au lendemain : dévaluation de la monnaie, nationalisations, blocage de dividendes, ou encore manque de protection des actionnaires minoritaires. La croissance peut donc être forte, mais le risque politique est tel que vous pourriez finir par tout perdre.
Pour diversifier les risques géographiques
La diversification va vous permettre en second lieu de réduire les fluctuations de votre portefeuille, en particulier celles liées aux risques politiques et géopolitiques. En effet, la valorisation d’une action dépend certes de ses performances commerciales, de la qualité de son management et de sa stratégie, mais pas que ! Certains facteurs externes comme la stabilité politique, la fiscalité, ou encore les catastrophes naturelles peuvent impacter le tissu économique d’un pays. A chaque sphère géographique, ses risques spécifiques et ses forces séculaires.
N’hésitez pas à investir dans des actifs variés et dans des secteurs très différents, cela vous permettra, in fine, de lisser ce “risque géographique” eu égard à la conjoncture propre à chaque pays. Ainsi, une décision politique comme le Brexit n’aura aucun effet sur vos actions américaines et asiatiques.
Pour accéder à des entreprises et des secteurs absents du marché français
Le marché boursier français (représenté principalement par le CAC 40), reste concentré sur quelques secteurs dominants : luxe (LVMH, Hermès), énergie (Total Energies), finance (BNP Paribas, AXA) et télécommunications. Il offre une exposition limitée à certains secteurs clés de l’économie mondiale, comme la tech de pointe, la santé numérique, ou encore la robotique industrielle.
À l’inverse, toujours dans une optique de diversification, en investissant dans les indices internationaux, vous accédez à une diversité sectorielle bien plus riche :
- Technologie : via le Nasdaq 100 ou le S&P 500, vous investissez dans les leaders mondiaux comme Apple, Microsoft, Nvidia ou Alphabet (Google), absents du CAC 40.
- Industrie de précision : en vous exposant au Japon ou à l’Allemagne, vous pouvez miser sur des géants comme Toyota, Siemens ou Bosch.
- Consommation mondiale : les indices mondiaux intègrent des marques universelles comme Coca-Cola, Nestlé ou Unilever, difficilement accessibles depuis le seul marché français.
- Santé et biotechnologies : l’indice MSCI World ou le Nasdaq offrent une exposition à des entreprises de santé innovantes comme Pfizer, Johnson & Johnson, Moderna ou Illumina.
👉 En clair, en vous limitant à la Bourse de Paris, vous vous privez d’une grande partie de la richesse économique mondiale. Les ETF internationaux vous permettent, avec un seul produit, d’investir dans des centaines d’entreprises leaders dans leur domaine, partout dans le monde.
Finalement, la performance d’un portefeuille boursier international à de grandes chances d’être meilleure que celle d’un portefeuille local et sa volatilité inférieure : que demander de plus ?!
Comment investir dans les différents indices boursiers internationaux ?
Le choix d’un contrat d’investissement adapté
Investir dans les indices boursiers internationaux, c’est bien. Mais encore faut-il disposer du bon véhicule d’investissement pour y accéder efficacement, et surtout dans les meilleures conditions fiscales possibles.
Le PEA : une enveloppe avantageuse mais très restreinte géographiquement
Le Plan d’Épargne en Actions (PEA) est souvent privilégié pour ses avantages fiscaux : après 5 ans, les gains (plus-values et dividendes) sont exonérés d’impôt (hors prélèvements sociaux). Mais attention : le PEA est normalement limité aux actions européennes.
👉 Heureusement, certains ETF dits à réplication synthétique permettent d’investir dans des indices non-européens (comme le S&P 500 ou le Nasdaq) tout en restant éligibles au PEA. Mais attention, certains PEA n’en proposent pas et certains indices n’ont pas d’ETF associés compatibles avec le PEA.
➡️Si cela vous intéresse, j’ai fait un comparatif des meilleurs PEA disponibles actuellement en tenant compte notamment de la présence ou non d’ETF dans chacun d’eux !
L’assurance-vie : une enveloppe flexible pour investir à l’international
L’assurance-vie, quant à elle, n’impose aucune contrainte géographique. Vous pouvez y loger des fonds investis partout dans le monde, à condition que le contrat propose les bonnes unités de compte. Il est donc essentiel de vérifier la gamme de fonds (ou ETF) disponibles dans votre contrat.
➡️Sur ce point, je vous recommande de consulter notre comparatif des meilleures assurances-vie du marché !
Le CTO : le contrat flexible mais sans avantages fiscaux
Le compte-titres ordinaire (CTO) est l’enveloppe la plus flexible. Vous pouvez y investir dans tous les indices mondiaux, sans aucune restriction géographique. C’est la solution idéale pour accéder à des ETF américains, asiatiques, émergents… y compris ceux qui ne sont pas accessibles via un PEA ou une assurance-vie. Par contre, le CTO ne propose aucuns avantages fiscaux.
⚠️Attention : la gamme de produits disponibles dépend du courtier. Les CTO proposés par certaines banques traditionnelles offrent souvent une sélection limitée de supports, avec des frais élevés. En revanche, les brokers en ligne spécialisés (comme Bourse Direct, DEGIRO, Trade Republic…) proposent généralement un univers d’investissement bien plus large, incluant des milliers d’ETF et d’actions internationales, à des conditions tarifaires plus compétitives.
➡️Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre étude comparative des meilleurs CTO !
Investir facilement dans des indices internationaux via des ETF ou des fonds d’investissement classiques ?
Pour investir facilement dans des indices boursiers mondiaux, deux grandes familles de produits s’offrent à vous :
- Les ETF sont des fonds cotés en bourse qui répliquent un indice de manière automatique. Ils sont peu coûteux (frais de gestion faibles), transparents et suivent fidèlement l’évolution de l’indice. Mais leur grande force est aussi leur limite : ils copient l’indice tel quel, sans arbitrage. Cela signifie que certaines entreprises peuvent être surreprésentées dans le portefeuille, en particulier dans les indices pondérés par la capitalisation (ex. : Nvidia, Apple ou Microsoft dans le S&P 500).
- Les fonds traditionnels (OPC) sont gérés activement par des professionnels qui sélectionnent les titres dans l’objectif de battre l’indice de référence. Mais cela a un coût : les frais sont bien plus élevés, et dans les faits, la majorité de ces fonds ne surperforment pas leur indice.
Ceci étant, l’étude SPIVA (S&P Indices Versus Active) est très claire : plus de 80 % des fonds actifs échouent à battre leur indice de référence sur 10 ans, toutes zones confondues. À long terme, il est donc souvent plus rentable de privilégier les ETF, sauf à identifier un fonds d’exception (ce qui est rare… et imprévisible).
Zoom sur les principales places boursières internationales
Les bourses Européennes
La Bourse de Francfort (l’indice DAX)

La Bourse de Francfort s’est naturellement imposée au cours de l’histoire récente comme l’une des plus importantes au monde, à la faveur du dynamisme de ce pays en reconstruction après la seconde guerre mondiale et la chute du mur. La bourse de Francfort centralise plus de 80 % des échanges boursiers allemands et plus de 30 % des échanges européens.
L’indice boursier de référence à la Bourse de Francfort est le DAX. Parmi les entreprises les plus connues, on retrouve Volkswagen, BMW, Allianz ou encore Continental.
La bourse de Londres : le London Stock Exchange (’indice FTSE)

La bourse de Londres (London Stock Exchange ou LSE pour les intimes) est la place financière où s’échangent les actions britanniques. Le London Stock Exchange se situe à Threadneedle Street depuis 2004.
Le Footsie (ou plus précisément le FTSE 100) est l’indice phare à la Bourse de Londres. Il regroupe les 100 plus grandes capitalisations anglaises et on y trouve des firmes mondialement célèbres comme HSBC ou GlaxoSmithKline .
La bourse de Zurich (l’indice SMI)

La principale bourse suisse se situe à Zurich. C’est une place financière dont on a tendance à sous-estimer l’importance. La Suisse est pourtant le quatrième pays européen mesuré par sa capitalisation boursière. La bourse suisse traite également diverses opérations sur titres des produits dérivés et des emprunts d’État.
Le Swiss Market Index (le SMI) est l ‘indice de référence en Suisse.
Comment investir dans les bourses européennes ?
In fine, pour profiter des avantages et de toutes ces bourses (et de celles que nous n’avons pas mentionnées), le plus pratique est d’investir dans un ETF d’actions européennes. Et plus précisément un ETF Stoxx 600, pour couvrir toutes les places financières. Vous pourrez ainsi plus facilement “lisser votre risque” grâce à des entreprises qui ont fait leurs preuves au cours de ces dernières décennies.
Évitez l’Eurostoxx 50, qui est restreint à la seule zone euro.
Les Bourses américaines

Le New York Stock Exchange (indice S&P 500 et Dow Jones)
En quelques mots si vous souhaitez investir à Wall Street, vous investirez essentiellement grâce au NYSE, situé dans la rue éponyme de Manhattan. C’est le plus grand marché financier au monde en capitalisation boursière et le plus renommé. Au moment de sa création, il n’y avait pourtant que 5 valeurs cotées !
L’indice souvent mentionné dans les médias pour faire référence au marché américain est le Dow Jones. Néanmoins, ce n’est pas le plus pertinent. Il n’est composé que de 30 grandes firmes américaines.
Le S&P 500, quant à lui, recense les 500 plus grandes entreprises cotées aux États Unis. Créé en 1957, il a emprunté son nom à l’agence de notation financière Standard & Poor’s qui le gère encore. Le S&P 500 est l’indice de référence de par le grand nombre d’entreprises qui le compose. Il est un bon indicateur de la santé économique américaine et il est bien mieux diversifié que le Dow Jones. On retrouve dans Le S&P 500 des entreprises comme Ford, Apple, Amazon Goldman Sachs ou encore Ralph Lauren.
L’indice Russell 2000 peut également être un bon indicateur de la performance économique américaine puisqu’il mesure la performance boursières des petites capitalisation boursières américaines.
Le NASDAQ
Le Nasdaq (ou National Association of Securities Dealers Automated Quotations) est la seconde place boursière américaine. Elle est spécialisée dans les sociétés innovantes : les entreprises informatiques, les entreprises de l’internet ou encore les biotechs. Alphabet, Tesla et Microsoft sont cotées au Nasdaq.
Le Nasdaq est également un indice boursier qui mesure la performance des principales actions cotées sur ce marché.
Pour tirer profit des valeurs américaines, nous vous conseillons d’investir dans un ETF S&P 500, lequel sera plus diversifié qu’un ETF Nasdaq ou qu’un ETF Dow Jones par exemple.
Les Bourses asiatiques
La bourse de Tokyo (l’indice Japan’s Nikkei 225 Stock Average)

Le Japon est la troisième puissance économique mondiale, derrière les États-Unis et la Chine. Il serait donc dommage de se priver des opportunités qu’offrent ce marché !
Le Nikkei 225 est l’indice phare au Japon. Il pondère le cours des 225 plus grandes firmes japonaises. Le Nikkei s’apparente au Dow Jones Industrial Average américain dans la mesure où sa pondération se fait en fonction du prix de l’action et non de sa capitalisation boursière. Au sein du Nikkei vous trouverez des entreprises comme Toyota ou Sony ou encore la banque Nomura. Le Topix est un autre indice japonais ; une alternative au Nikkei.
La bourse chinoise

Les bourses chinois sont nombreuses. Les plus importante sont :
- le Shanghai Stock Exchange, la plus importante ;
- la bourse de Hong Kong ;
- le Shenzhen Stock Exchange.
Quant aux indice boursiers, les plus utilisés sont :
- le Shanghai Composite ;
- le SSE 50 ;
- le SSE 180.
Si vous souhaitez investir sur les marchés asiatiques ou émergents, il sera opportun de s’intéresser au MSCI Emerging Markets qui permet d’investir dans l’ensemble de cSi vous souhaitez investir sur les marchés asiatiques ou émergents, il sera opportun de s’intéresser au MSCI Emerging Markets qui permet d’investir dans l’ensemble de ces pays en plein essor économique. L’indice MSCI Emerging Markets, a été créé en 1988. Il existe, là encore, des ETF indexés sur l’indice MSCI emerging markets et qui vous permettront de répliquer fidèlement la croissance des 27 pays concernés.
Vous l’aurez compris, investir dans les bourses internationales est indiscutablement une bonne idée. Pour y parvenir les ETF sont d’une grande aide. En lien, on vous explique comment choisir vos ETF pour concevoir votre portefeuille !
Questions fréquentes sur les indices boursiers internationaux
Non, un indice est un simple indicateur statistique : vous ne pouvez pas l’acheter directement. Pour investir sur un indice, vous devez passer par un produit financier qui le réplique, comme un ETF (tracker) ou un fonds d’investissement.
Un indice géographique (comme le CAC 40 ou le MSCI World) regroupe des actions selon leur localisation, tandis qu’un indice sectoriel (comme le MSCI World Health Care) sélectionne des entreprises selon leur secteur d’activité, indépendamment de leur pays d’origine.
Une Bourse est un lieu d’échange, physique ou numérique, où s’achètent et se vendent des actions, obligations, ETF, etc. Exemples : la Bourse de Paris (Euronext), la Bourse de New York (NYSE).
Un indice boursier, en revanche, est un indicateur : il mesure la performance d’un ensemble d’actions cotées en Bourse, souvent représentatives d’un pays, d’un secteur ou d’un style d’entreprise.
Tout dépend de votre profil. Investir en une seule fois permet de profiter immédiatement des hausses de marché, mais vous expose à plus de volatilité. Investir progressivement (via un plan d’investissement programmé) permet de lisser le risque dans le temps, en particulier sur des marchés volatils comme les émergents.